Tornadreams Admin
Nombre de messages : 1381 Age : 34 Localisation : Noisy-le-Grand (93) France Date d'inscription : 25/10/2004
| Sujet: Le mystère des dames blanches Dim 6 Mar 2005 - 13:23 | |
| Voici une histoire de la dame blanche française : - Citation :
- Le 20 mai 1981, quatre jeunes montpelliérains âgés de 17 à 25 ans vers 0h30, après s'être promené sur les quais de Palavas et avoir bu un coup, aperçoivent sur le bord de la route, une auto-stoppeuse d'une cinquantaine d'années portant un imperméable ainsi qu'un foulard blancs. Ils lui proposent de l'amener jusqu'à Montpellier. Elle ne répond pas mais opine de la tête, monte à l'arrière, et s'assied entre les deux passagères. La voiture repart. La mystérieuse auto-stoppeuse ne dit toujours pas un mot. Un kilomètre après, elle s'exclame "Attention au virage, attention au virage !". Le conducteur, surpris, lève le pied, et passe le virage sans encombre. C'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! La voiture roule toujours à 90 km/h, les portes fermées... D'abord abasourdis, les quatre amis décident d'aller tout raconter à la police. Qui, après avoir cru à une plaisanterie, se rend sur place, sans rien trouver ! Plusieurs convocations plus tard, la police, comme toutes les personnes qui les interrogent, concluent à la sincérité des jeunes : leurs témoignages ne se contredisent jamais, ils ne s'intéressent pas au spiritisme ni à aucun sujet de ce genre... Enfin, ils évitent tant que possible de parler de cette affaire.
Histoire de la dame blanche de Monmorency (Canada) : - Citation :
- Main dans la main, Mathilde et Louis marchaient au bord de la rivière Montmorency dont ils connaissaient tous les méandres. Après les durs travaux du jour, ils se rendaient parfois jusqu'en haut du grand sault, là où on voit toute l'île d'Orléans qui ressemble à un gros poisson couché au milieu du fleuve. Ils faisaient mille projets et leur coeur débordait d'amour. Mathilde refusait de décrire la robe blanche qu'elle avait cousue pour le grand jour. Louis ne la verrait que le matin des noces !
Voici qu'un matin de juillet, dans toutes les paroisses de la côte, les curés avaient réuni les familles et lancé :
- Partez ! Emmenez bêtes et provisions ! Terrez-vous au fond des bois ! Les Anglais sont là ! Seuls demeuraient sur les bords du fleuve Saint-Laurent les hommes, jeunes et vieux, qui s'étaient engagés dans les milices pour défendre leurs biens jusqu'au dernier souffle. Non, les Anglais venant de l'ouest ne franchiraient pas la rivière ! Mathilde Robin aurait bien voulu camper avec les miliciens. Elle aurait tout accepté pour être auprès de Louis ! Mais la guerre est l'affaire des hommes, elle le savait. Réfugiée dans les bois avec sa famille, elle languissait. À chaque fois qu'arrivait un nouveau venu parmi les tentes, elle posait toujours la même question : - Avez-vous vu Louis Tessier ? Sa compagnie est-elle sur les battures Puis, un jour, un milicien arriva avec quelques Indiens et un blessé qu'il confia aux femmes. - Les Habits rouges ont attaqué les redoutes, dit-il, hors d'haleine, et ils ont tenté de gravir les falaises et de franchir les gués. Mais nos troupes les attendaient derrière les fascines et elles ont empêché leur avance. La bataille de Montmorency se terminait par une brillante victoire des Français. Dans le bois, tout le monde attendait des nouvelles. Quelques soldats et miliciens essoufflés et trempés vinrent rassurer leurs parents. Mathilde eut beau attendre et attendre encore, Louis ne vint pas au campement dans le bois. Alors, n'y tenant plus, elle quitta les autres sous la pluie et se dirigea en hâte vers la rivière. Elle se mit à courir sur les rochers sans se soucier des ronces qui déchiraient son mantelet et son jupon . Bientôt elle arriva au premier gué. Louis Tessier ? Non, il n'était pas là. À l'autre gué, peut-être. Mathilde, haletante, continua son chemin. Au deuxième gué, on n'avait pas vu Louis. Mathilde repartit, mais là aussi, elle fut déçu, il n'était pas au troisième gué. « Il a peut-être tenté d'aller à la ferme », se dit-elle. Elle se précipita sur le sentier qui menait aux habitations. Et cette fois encore, elle ne trouva personne. Mais elle fut saisie de crainte en voyant flamber autour d'elle des granges et des maisons. Elle comprit que les Anglais avaient incendié les fermes et les granges. Elle courut à perdre haleine vers sa maison encore intacte. Elle ouvrit la porte et appela : - Louis ! Seul le silence lui répondit. Mathilde réussit à se guider dans la noirceur. À tâtons, elle ouvrit l'armoire et repéra sa robe blanche. Elle la saisit et la serra contre elle. Puis elle se dépêcha de ressortir. Elle poursuivait sa quête en répétant le nom de l'aimé. Elle arriva enfin en amont de la grande chute ; elle vit des gens et entendit des appels. - Mathilde ! Oh ! Mathilde ! Folle d'espoir elle alla vers les voix qui montaient dans la nuit. En la voyant, les miliciens s'écartèrent et firent silence. Il était là, son Louis : il reposait sur la rive dans ses habits familiers. Mathilde l'appela doucement, attendant qu'il se lève et qu'il accoure vers elle. Mais Louis restait couché et ne donnait aucun signe de vie. Alors, elle comprit qu'elle arrivait trop tard. Elle se jeta sur son corps en hurlant sa douleur. Au bout d'un moment, elle sécha ses larmes et s'enfuit. Guidée par le bruit grandissant de l'eau qui se précipitait vers le fleuve, elle arriva juste en haut, au bord du rocher. C'était là où tant de fois elle s'était tenue avec Louis, là où toute la rivière, d'un geste majestueux, bascule dans le vide. Mathilde enfila sa robe blanche et sans hésiter un seul instant, elle ouvrit tout grand les bras et se laissa glisser dans la chute. On ne la revit plus jamais. Encore aujourd'hui, pendant les belles soirées d'automne, juste à la fin du jour, les gens de l'île d'Orléans racontent qu'ils peuvent voir distinctement une jeune femme toute vêtue de blanc errer au pied du grand sault de Montmorency. C'est le fantôme de Mathilde Robin qui, les soirs de lune, semble chercher encore dans les bouillons de la chute le corps de son bien-aimé. Et le vent apporte parfois sa plainte jusqu'à Saint-Pierre ou Sainte-Pétronille. Alors, les gens s'arrêtent et disent : - La voilà. C'est Mathilde Robin, la dame blanche. Source : http://www.outre-vie.com/revenants/dameblanche.htm | |
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Bender_22 Tornade F6
Nombre de messages : 524 Localisation : Rive Sud, dans le futur pays du Québec Date d'inscription : 14/01/2005
| Sujet: Re: Le mystère des dames blanches Lun 7 Mar 2005 - 1:33 | |
| Pour l'histoire de la Dame blanche de la chute Monmorency, ça doit être une vieille légende tout simplement... Il y a beaucoup de conte et légende sur les démon au Québec! dont la plus populaire est la Chasse Gallerie... | |
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Tornadreams Admin
Nombre de messages : 1381 Age : 34 Localisation : Noisy-le-Grand (93) France Date d'inscription : 25/10/2004
| Sujet: Re: Le mystère des dames blanches Lun 7 Mar 2005 - 9:36 | |
| Les dames blanches j'y crois pas trop à vrai dire mais ce que les gens racontent des fois ç laisse penser le contraire... Mais c'est sûr que ce sont souvent des légendes, donc peu de chances que ce soit vrai | |
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tornadotwister Modéro
Nombre de messages : 937 Localisation : Boucherville, Québec, Canada Date d'inscription : 26/10/2004
| Sujet: Re: Le mystère des dames blanches Jeu 10 Mar 2005 - 15:36 | |
| Les légendes ne sont pratiquement jamais vrai. La preuve? Écoutez la légende de la chasse-galerie et vous serez convaincu... lolllll c'est juste pour se faire des idées que ca existe genre | |
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Tornadreams Admin
Nombre de messages : 1381 Age : 34 Localisation : Noisy-le-Grand (93) France Date d'inscription : 25/10/2004
| Sujet: Re: Le mystère des dames blanches Jeu 10 Mar 2005 - 19:46 | |
| C'est vrai qu'une légende est très rarement véridique... Mais l'histoire de la dame blanche en France a l'air d'être une chose vraie, je connais quelqu'un dont un de ses amis l'a vécue... | |
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| Sujet: Re: Le mystère des dames blanches | |
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